La lettre de juillet-août est parue. En
page départementale, un article est consacré à la mise en place par le Conseil
général d’un plan d’aide exceptionnelle aux agriculteurs de notre Département.
Cliquez ici pour lire cette lettre.
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général d’un plan d’aide exceptionnelle aux agriculteurs de notre Département.
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La vigilance est donc de mise, même au coeur de l'été. Je vais prendre un peu de vacances, pour aborder de façon combative une rentrée qui s'annonce difficile. Je reste cependant en alerte, mais ce blog va se mettre au repos pendant quelques semaines.
Bon été à tous !Marisol Touraine était présente à la cérémonie officielle du 14 juillet organisée à Descartes.
Après le défilé du Quai Couratin à la Place de l'Hôtel de Ville, elle a assisté à la lever des couleurs et à la revue des troupes. Deux sapeurs-pompiers de Descartes ont ensuite été honorés à la mairie par une remise de médaille.
Cliquez ici pour lire l'article paru dans La Nouvelle République et ici pour lire l'article paru dans La Renaissance Lochoise.
La commission des affaires sociales a commencé l'examen de la loi sur les retraites. En plein été. En pleines vacances. À huis clos, surtout. Alors que le gouvernement annonce lui-même que ce texte est l'un des plus importants du quinquennat, l'UMP a refusé l'ouverture à la presse de nos débats. Elle a refusé de la même manière une simple retransmission télévisée : la chaîne parlementaire était disposée à le faire. Résultat : des entrées et des sorties incessantes des parlementaires qui vont parler aux journalistes, massés derrière la porte de la commission ; qui twittent ou vont sur facebook. Ce débat valait mieux. Vous le comprenez, l'ambiance est électrique, la tension est extrême.
D'autant plus que Jean-François COPÉ a déclaré sur France Inter que l'étape de la commission ne servait qu'à prendre la température et que les choses sérieuses se passaient à la rentrée. Incroyable mépris de la majorité pour le Parlement ! Irresponsable de la part d'un chantre de l'hyperparlement, qui avoue benoîtement que seule l'hypermajorité l'intéresse. La vérité est dite : l'opposition est méprisée, le travail du Parlement n'a en rien été revalorisé par ce gouvernement. Cela explique que celui-ci ait dépensé des millions pour réaliser une campagne de communication éhontée (éhontée parce que fausse !) sur une loi qui n'est même pas votée. Comment mieux dire qu'à défaut d'être une promenade de santé, l'étape parlementaire n'est, pour la droite, qu'une formalité.
Violences. À Grenoble et à Saint Aignan, des scènes de violence inouïes se sont déroulées. Elles font suite à de nombreuses agressions dont les forces de l'ordre ont été les victimes. Nicolas SARKOZY prétendait garantir la sécurité à chacun. On voit ce qu'il en est aujourd’hui. La vérité est que la politique de Nicolas SARKOZY, d'abord ministre de l'Intérieur puis Président de la République a déclaré : les violences physiques ont explosé, des territoires entiers sont laissés aux délinquants. Mais comment s'en étonner alors que le nombre de policiers et de gendarmes diminue : 4 000 en moins en 2009, 11 000 en moins d'ici 2011. Ce sont, comme toujours, les quartiers populaires, les populations les plus exposées qui trinquent. Décidément, l'échec de Nicolas SARKZOY se décline sur tous les fronts.
Éric WOERTH. Le parquet a demandé à l'entendre, le Conseil des ministres va l'autoriser. Je n'attends rien de cette audition mais ce n'est pas sur l'affaire elle-même que je veux m'exprimer ici. Eric Woerth siège en commission, a-t-il l'esprit libre pour porter la réforme des retraites ? Je ne le crois pas. Il a l'air tendu, est agressif. Un ministre affaibli, dans un gouvernement affaibli, pour une réforme majeure, ce n'est pas sain.
Alors que l’examen
du projet de loi portant réforme des retraites commence aujourd’hui à la
commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale,
Marisol Touraine, Secrétaire nationale du Parti socialiste à la santé et à la Sécurité sociale, a publié un communiqué dans lequel elle revient sur la 18ème Conférence internationale sur le Sida qui se déroule à Vienne. Elle dénonce la baisse des contributions de certains pays - dont la France - au financement des programmes de lutte antisida dans les pays pauvres.
Cliquez ici pour lire le communiqué.
Marisol Touraine a participé, mercredi 14 juillet, aux manifestations du 14 juillet organisées à Artannes-sur-Indre. Elle a notamment rencontré à cette occasion les membres du Comité des fêtes qui organisaient le banquet de midi.
Cliquez ici pour lire l'article de J-C Domenger paru dans La Nouvelle République.
Dans le cadre des festivités de la fête nationale, Marisol Touraine a participé, mardi 13 juillet, au pique-nique de Saint-Avertin et mercredi 14 juillet, à la traversée de la passerelle sur l'Indre à Montbazon.
Cliquez ici et ici pour lire les articles qui reviennent sur ces deux manifestations parus dans La Nouvelle République.
Marisol Touraine a participé, mardi 13 et mercredi 14 juillet, aux cérémonies et festivités organisées dans le cadre de la fête nationale : au pique-nique de Saint-Avertin, au banquet de Pont-de-Ruan, à la cérémonie de Descartes, à la traversée de la passerelle sur l'Indre à Montbazon et au banquet d'Artannes-sur-Indre.
Cliquez ici pour voir les photos de ces manifestations.
Elle a interpellé M. Eric Woerth, ministre du Travail, de la Solidarité et de la Fonction publique, au sujet des retraites.
Cliquez ici pour lire son intervention et la réponse du ministre.
Vidéo de l'intervention ci-dessous (à partir de 40 ' 38).
Marisol Touraine a été interviewée par Jean-Jacques Bourdin sur RMC, mardi 13 juillet à 7h15, au sujet des retraites à la suite de l'entretien télévisé de N. Sarkozy.
Cliquez ici pour écouter l'interview.
Marisol Touraine était, vendredi 9 juillet, au lancement de la 6ème édition du Festival Terres du son, qui se déroule au Château de Candé à Monts.
Cliquez ici pour voir les photos.
L'affaire Woerth-Bettencourt tourne à l'affaire d'État. Chaque jour apporte son lot de révélations au point que le procureur de Nanterre, Philippe Courroye, proche du pouvoir, n'a pu éviter l'ouverture d'une enquête préliminaire sur le financement de la campagne présidentielle. Des investigations sont menées par ailleurs pour vérifier les déclarations de l'ancienne comptable de Mme Bettencourt, qui consignait dans des carnets les sommes versées en liquide par le couple de milliardaires.
Dans ce contexte, la droite s'entête et s'obstine à ne pas répondre aux questions posées. Je ne suis pas certaine que cette stratégie soit la bonne. E. Woerth se dit blessé, et à n'en pas douter sa situation est inconfortable. Mais son cas révèle le mélange des genres, entre financements privés et engagements publics,qui est une des marque du quinquennat de N. Sarkozy. Il ne suffit pas de crier au complot pour que les questions posées, qui sont celles de l'opinion publique tout entière, disparaissent d'elles-mêmes. Le pari que les Français, écrasés par la chaleur estivale et tout entiers consacrés à des projets de vacances, oublieront le feuilleton qui les tient aujourd'hui en haleine, est risqué. D'abord parce que les Français ont parfaitement compris que l'homme du Fouquet's cherchait à gagner du temps, au mépris des intérêts de l'Etat ; ensuite parce que septembre va replacer la réforme des retraites et la mobilisation sociale. sous les feux des projecteurs.
Les critiques contre la presse sont indignes. Parler de méthodes fascistes, comme l'ont fait Xavier Bertrand et Nadine Morano, indécent. Ces déclarations témoignent d'une méconnaissance historique préoccupante -mais c'était déjà le cas, il y a quelques jours, de J.F. Copé parlant de la nuit du 4 août comme d'une infamie en oubliant que c'était l'abolition des privilèges – ou d'une volonté de restreindre les droits de la presse inquiétante. La presse d'investigation cherche des faits, elle les publie. La droite sarkozyste rêve à tel point de maîtriser la presse, de juguler toute indépendance dans ce domaine, qu'elle en vient à tenir des propos délirants sur le sujet.
L'intérêt de l'État commande un vaste remaniement ministériel. La gauche n'a rien à gagner au climat délétère de la période, je l'ai déjà dit, qui ne profite qu'à Marine Le Pen. Les socialistes n'ont aucun intérêt à ce que soient escamotés les débats de fond, au premier rang desquels figure celui sur les retraites. Or, E. Woerth n'est plus en mesure de mener le débat. S'il daigne se prononcer sur les propositions socialistes, au lieu de s'en aller partout répétant que les socialistes n'ont rien à dire, comment ne pas comprendre que son souci de ne pas mettre à contribution les revenus du capital tient à a volonté d'épargner ses riches amis contributeurs de l'UMP, parmi lesquels Mme Bettencourt, ex employeure de son épouse ?
C'est tout le gouvernement qui est atteint. Il n'est plus légitime pour imposer ses choix. La période le démontre à l'envie : fronde des sénateurs UMP contre le projet de loi de réforme des collectivités territoriales ; fronde des députés UMP contre E. Woerth, qui cherchait à introduire a minima un mécanisme de référence syndicale dans les très petites entreprises. Fronde justifiée dans un cas, choquante dans l'autre, puisqu'elle revient à priver les 4 millions de salariés des TPE d'un début de représentation syndicale. Dans les deux cas, ce qui frappe est la faiblesse du gouvernement. Ce n'est jamais bon dans une démocratie.
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