Marisol Touraine sera l'invitée, vendredi 10 septembre, de l'émission "Parlement Hebdo", présentée par Emmanuel Kessler (Public Sénat) et Aude Moracchini (LCP).
L'émission est diffusée sur Public Sénat à 18h15 (rediffusions samedi à 14h, dimanche à 19h45 et lundi à 11h). L'émission est également diffusée sur LCP à 20h00 (rediffusions samedi à 9h50 et dimanche à 13h).
Cliquez ici pour voir le site de l'émission sur PublicSénat.fr.
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Marisol Touraine sera l'invitée, samedi 11 septembre à 19h00, de l'émission "Revu et corrigé", présentée par Paul Amar sur France 5 (en direct).
Cliquez ici pour voir le site de l'émission.
Marisol Touraine, Secrétaire nationale du Parti socialiste à la santé et
à la Sécurité sociale, a publié un communiqué dans lequel elle revient
sur le rapport de la Cour des Comptes, qui dresse un nouveau réquisitoire contre la politique du Gouvernement en matière de protection sociale.
Cliquez ici pour lire le communiqué.
Marisol Touraine a été interviewée, mercredi 8 septembre à 18 h 45, sur le projet de loi portant réforme des retraites dans le Journal de TV TOURS.
Le journal est rediffusé à 20h30 et 23h00.
Cliquez ici pour voir le journal.
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Marisol Touraine a été interviewée, jeudi 9 septembre à 12h25, dans l'émission "Les Grandes Gueules", présentée par Alain Marschall et Olivier Truchot.
Cliquez ici pour écouter l'interview.
Marisol Touraine, porte-parole du groupe Socialiste de l'Assemblée nationale sur le projet de loi portant réforme des retraites, est intervenue, mardi 7 septembre, pour défendre la motion de rejet préalable de ce projet.
Cliquez ici pour lire l'intégralité de son intervention.
Elle a interpellé M. Eric Woerth, ministre du Travail, de la Solidarité et de la Fonction publique, au sujet des retraites.
Cliquez ici pour lire le texte de son intervention et la réponse du ministre..
Marisol Touraine a été interiewée par l'AFP, lundi 6 septembre, au sujet des retraites.
Elle appelle les Français "à descendre dans la rue" pour dire leur opposition à la réforme des retraites et rendre possibles des avancées du Gouvernement.
Cliquez ici pour lire la dépêche.
La lettre de juillet-août est parue. En
page départementale, un article est consacré à la mise en place par le Conseil
général d’un plan d’aide exceptionnelle aux agriculteurs de notre Département.
Cliquez ici pour lire cette lettre.
La commission des affaires sociales a commencé l'examen de la loi sur les retraites. En plein été. En pleines vacances. À huis clos, surtout. Alors que le gouvernement annonce lui-même que ce texte est l'un des plus importants du quinquennat, l'UMP a refusé l'ouverture à la presse de nos débats. Elle a refusé de la même manière une simple retransmission télévisée : la chaîne parlementaire était disposée à le faire. Résultat : des entrées et des sorties incessantes des parlementaires qui vont parler aux journalistes, massés derrière la porte de la commission ; qui twittent ou vont sur facebook. Ce débat valait mieux. Vous le comprenez, l'ambiance est électrique, la tension est extrême.
D'autant plus que Jean-François COPÉ a déclaré sur France Inter que l'étape de la commission ne servait qu'à prendre la température et que les choses sérieuses se passaient à la rentrée. Incroyable mépris de la majorité pour le Parlement ! Irresponsable de la part d'un chantre de l'hyperparlement, qui avoue benoîtement que seule l'hypermajorité l'intéresse. La vérité est dite : l'opposition est méprisée, le travail du Parlement n'a en rien été revalorisé par ce gouvernement. Cela explique que celui-ci ait dépensé des millions pour réaliser une campagne de communication éhontée (éhontée parce que fausse !) sur une loi qui n'est même pas votée. Comment mieux dire qu'à défaut d'être une promenade de santé, l'étape parlementaire n'est, pour la droite, qu'une formalité.
Violences. À Grenoble et à Saint Aignan, des scènes de violence inouïes se sont déroulées. Elles font suite à de nombreuses agressions dont les forces de l'ordre ont été les victimes. Nicolas SARKOZY prétendait garantir la sécurité à chacun. On voit ce qu'il en est aujourd’hui. La vérité est que la politique de Nicolas SARKOZY, d'abord ministre de l'Intérieur puis Président de la République a déclaré : les violences physiques ont explosé, des territoires entiers sont laissés aux délinquants. Mais comment s'en étonner alors que le nombre de policiers et de gendarmes diminue : 4 000 en moins en 2009, 11 000 en moins d'ici 2011. Ce sont, comme toujours, les quartiers populaires, les populations les plus exposées qui trinquent. Décidément, l'échec de Nicolas SARKZOY se décline sur tous les fronts.
Éric WOERTH. Le parquet a demandé à l'entendre, le Conseil des ministres va l'autoriser. Je n'attends rien de cette audition mais ce n'est pas sur l'affaire elle-même que je veux m'exprimer ici. Eric Woerth siège en commission, a-t-il l'esprit libre pour porter la réforme des retraites ? Je ne le crois pas. Il a l'air tendu, est agressif. Un ministre affaibli, dans un gouvernement affaibli, pour une réforme majeure, ce n'est pas sain.
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