Marisol Touraine a rendu visite, vendredi 24 octobre, au personnel de la commission locale d'insertion de Joué-lès-Tours pour débattre de l'avenir.
Cliquez ici pour lire l'article que la Nouvelle République consacre à cette visite.
Marisol Touraine a rendu visite, vendredi 24 octobre, au personnel de la commission locale d'insertion de Joué-lès-Tours pour débattre de l'avenir.
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Trois articles relatant les activités et les prises de position de Marisol Touraine sont à consulter ce jour dans la Nouvelle République.
Cliquez ici pour lire le compte-rendu de sa visite du vendredi 17 octobre au collège Jules Romains de Saint-Avertin. Cliquez ici pour voir les photos de cette visite.
Cliquez ici pour lire l'article consacré à sa visite aux Floralies du Val de l'Indre, samedi 18 octobre. Cliquez ici pour voir les photos de cette visite.
Cliquez ici pour lire sa prise position en faveur de Barack Obama pour l'élection présidentielle américaine du 4 novembre.
Dès samedi, je me suis exprimée pour dire ma confiance en Dominique STRAUSS-KAHN. (Cliquez ici pour lire l'interview à la N.R.) Je voudrais ajouter mon amitié pour Anne Sinclair qui, comme toujours, a su en ces circonstances faire preuve d'élégance et de mesure. L'essentiel de cette affaire ne regarde qu'eux, un peu de pudeur ne serait pas excessive. Je ne me résous pas à cette exigence américaine qui veut que tout homme (ou femme) public se voit contraint d'exposer sa vie privée aux regards de tous. Je ne vois pas ce que la démocratie y gagne. Dans le cas particulier de DSK, il reste à attendre le rapport commandé par le FMI qui montrera, j'en suis certaine, qu'aucun passe-droit n'a été accordé. Et DSK pourra reprendre sereinement le travail nécessaire qu'il accomplit pour favoriser de nouvelles règles de régulation économique et financière.
Le congrès de Reims, maintenant. Drôle d'atmosphère, en vérité ! Drôle de campagne, aussi. Les militants semblent perplexes, sans enthousiasme. Quelques responsables nationaux se sentent obligés de créer des conflits, de faire le procès en sarkozysme de tous les camarades qui ne pensent pas comme eux (c'est ce qui est arrivé à ceux, par exemple, qui avaient défendu l'idée d'une approbation critique du projet de soutien au prêt interbancaire plutôt que l'abstention positive, la semaine dernière, à l'Assemblée). C'est inutile et peu en phase avec la volonté des militants d'en finir avec l'agressivité, l'affrontement stérile, leur attente d'un congrès de rénovation et de proposition.
A dire vrai, au-delà du congrès, on voit bien que les socialistes doivent clarifier leur positionnement : ils se sont révélés parfois excessivement gestionnaires, lorsqu'ils étaient au pouvoir, ils ont tendance à se montrer excessivement protestataires dans l'opposition. Or, nous le savons, les Français attendent de nous une parole qui soit à la fois de vérité et d'espoir. De vérité car ils savent que l'état de notre pays, mis à mal par la gestion économiquement et socialement désastreuse de la droite, appelle des mesures fortes pour rétablir une croissance forte et enrayer la spirale des inégalités. D'espoir, car ils veulent une autre perspective que celle tracée par la droite. Des réformes sont nécessaires, des réformes radicales, et radicalement différentes de celles portées par la droite.
La crise actuelle renforce ma conviction que nous avons besoin de réponses fortes, à l'échelle européenne et internationale, à mille lieux de l'appel au protectionnisme que je lis sous la plume de certains socialistes. Ce dont nous avons besoin, c'est de règles qui réorganisent le capitalisme, le moralisent, le fassent profiter à un plus grand nombre. Les socialistes doivent participer à cette démarche, à cette réflexion. Pour cela, le congrès de Reims n'est qu'une étape, mais nous avons besoin d'un Parti socialiste en ordre de marche, rassemblé, au travail. Je suis convaincue que la motion A est la mieux à même de permettre la mise en place de ce travail. Il faut à tout prix éviter que de Reims ne sorte l'émiettement, la division, la confusion. Ce serait l'échec assuré en 2012. Un échec pour les socialistes qui serait lourd de conséquences pour les Français.
Cliquez ici pour lire l'interview donnée à la Nouvelle République dimanche par Marisol Touraine suite à l'enquête du Fonds Monétaire International concernant Dominique Strauss-Kahn.
Marisol Touraine est intervenue, mercredi 15 octobre, au nom du groupe socialiste, lors de l'examen du projet de loi de programme relatif à la mise en oeuvre du Grenelle de l'environnement.
Elle a exposé sa préoccupation quant à l'avenir du fret ferroviaire compte tenu de la politique engagée dans ce domaine. Elle a dénoncé le fait que l'article 10 du projet de loi soit très en retrait de ce qui serait nécessaire.
Cliquez ici pour lire l'intégralité de son intervention et la réponse du ministre.
Cliquez ici pour télécharger les amendements déposés par Marisol TOURAINE à l'article 10 du projet de loi et ici pour les amendements déposés à l'article 36.
En vue de la préparation du Congrès de Reims, Besoin de gauche publie sa première lettre d'information. Vous y trouverez notamment un entretien avec Pierre Moscovici et une analyse de la crise financière actuelle.
Cliquez ici pour lire le premier numéro de la Lettre d'information.
Marisol TOURAINE
participe ce soir à l'émission spéciale de « Ça
vous regarde » sur LCP, consacrée à la crise
financière, et plus particulièrement à ses
conséquences sur l'économie réelle.
Elle est invitée avec Patrick OLLIER, député des Hauts-de-Seine, président de la Commission des affaires économiques, de l'environnement et du territoire ; Jean-François ROUBAUD, président de la CGPME et Robert ROCHEFORT, directeur général du CREDOC.
L'Humanité publie aujourd'hui une tribune de Marisol Touraine sur les réponses que doivent apporter les socialistes face à la crise financière internationale.
Cliquez ici pour lire la tribune "Conjuguer un réformisme assumé".
Ces dernières
semaines ont été chargées, entre préparation du congrès de Reims et
multiplication des textes sociaux à l’Assemblée nationale. Je n’ai donc pas
suffisamment pris le temps de m’adresser à vous. Je voulais le faire sur le
Parti socialiste ; la réalité de la crise m’amène à évoquer le plan du
Gouvernement pour garantir les prêts interbancaires et tenter d’enrayer la
crise financière.
Ce plan, en débat à
l’Assemblée cet après-midi, est connu : il s’agit pour l’Etat de garantir
que les banques pourront emprunter l’argent dont elles ont besoin, pour le
prêter ensuite aux particuliers aux entreprises. Le doute est désormais
tellement fort sur la capacité des banques à rembourser ce qu’elles empruntent,
qu’elles ne trouvent plus prêteur ! C’est donc une société de
refinancement qui empruntera les capitaux dont les banques ont besoin, avec la
garantie de l’Etat ; en contrepartie de ces liquidités, les banques
donneront à l’Etat des actifs. Cette société pourra intervenir dans la limite
de 320 milliards d’euros. Ce n’est pas de l’argent que l’Etat va sortir de son
chapeau, mais qu’il va devoir emprunter, se faisant ensuite rémunérer par les
banques.
Par ailleurs, l’Etat
pourra venir en aide aux banques en difficultés, dans une limite de 40
milliards. Cette somme, elle, sortira du budget de l’Etat, au fur et à mesure
des besoins. La dette publique va à coup sûr augmenter, ce ui va limiter nos
marges de manoeuvre. Mais dans l’urgence, des mesures fortes et concertées en
Europe s’imposaient. Ce plan a été inspiré par le Premier ministre anglais,
Gordon Brown, et mis en œuvre dans chaque pays européen, selon des modalités à
peu près semblable (100 milliards en Espagne, 480 milliards en Allemagne, 636
milliards au Royaume Uni). Le succès personnel de N. Sarkozy est donc très
limité en la matière : sa tentative de G4, la semaine dernière, a échoué.
Le groupe socialiste
a décidé de s’abstenir sur ce projet, pour la bonne raison qu’il ne dit rien
des exigences à porter envers ceux qui sont responsables de la débâcle
financière (les dirigeants des banques, les traders et tous les adeptes du
capitalisme financier), et qu’il est muet sur les conséquences économiques de
cette situation. Un vote favorable ne m’aurait pas dérangée : il faut
remettre de l’ordre dans la planète finance pour pouvoir enrayer la
contamination de la crise à l’économie réelle. Mais c’est bien ce risque là qui
doit d’abord nous inquiéter.
Notre économie,
fragilisée par la politique de N. Sarkozy, s’enfonce à son tour dans la crise.
La récession est là, le chômage repart, la consommation stagne, la confiance a
cédé le pas à l’inquiétude. Tout cela ne vient pas de la crise financière, mais
d’une politique économique contre-productive menée depuis 20 mois. La crise
financière accélère le processus de dégradation.
Il me semble que
l’exigence de la gauche doit se porter de ce côté : l’Etat, qui a volé au
secours des banques – pour garantir les prêts, sans lesquels il n’y a plus
d’économie viable – doit engager une politique sociale volontariste et revoir
sa feuille de route économique. Il n’est pas sérieux de répondre au
ralentissement de la demande par l’annonce que le travail du dimanche sera
facilité ! Les salaires sont trop bas pour permettre la
consommation ; les entreprises, surtout les PME, ne peuvent pas investir.
Ce sont les deux volets d’une politique de relance : soutenir la
consommation, aider les entreprises qui investissent en baissant leurs impôts
tout en augmentant ceux des entreprises qui privilégient la rente. C’est sur ce
terrain économique et social que les réponses du Gouvernement sont attendues.
Dans l’urgence.
Trois articles consacrés aux activités de Marisol Touraine sont à lire aujourd'hui dans la Nouvelle République.
Cliquez ici pour lire l'article consacré à l'insertion et à la formation professionnelle pour les jeunes défavorisés.
Cliquez ici pour lire les articles consacrés à l'inauguration de la station d'épuration de Saché et à l'inauguration du salon des Collectionneurs de Monts.
Cliquez ici pour voir les photos de l'inauguration à Saché et ici pour voir les photos de l'inauguration à Monts.
Marisol Touraine est de nouveau intervenue, mardi 7 octobre, au nom
du groupe socialiste, lors de la poursuite de l'examen du projet de loi
portant généralisation du revenu de solidarité active et réforme des
politiques d'insertion, notamment sur la question de son financement.
Vous pouvez consulter ici l'article que La Renaissance Lochoise consacre à la réunion publique de
compte-rendu de mandat qu'a organisé Marisol Touraine à Ligueil, le
30 septembre dernier.
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